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La Génération Z : halte au bashing

jeux de societe

La GĂ©nĂ©ration Z, souvent dĂ©criĂ©e pour son rapport au numĂ©rique, fascine autant qu’elle interroge. Alors qu’on l’accuse de vivre dans un monde virtuel Ă  travers ses smartphones, elle dĂ©joue les attentes en plĂ©biscitant des lieux comme les bars Ă  jeux, en quĂȘte d’échanges authentiques et de convivialitĂ©. Plus encore, son approche du monde du travail reflĂšte cette quĂȘte d’authenticitĂ©, d’équilibre et de sens. Ces paradoxes soulĂšvent une question fondamentale : a-t-on vraiment compris la maniĂšre dont cette gĂ©nĂ©ration redĂ©finit ses usages et ses prioritĂ©s ?

Le smartphone : outil d’interconnexion, pas une finalitĂ©

Pour la GĂ©nĂ©ration Z, le smartphone n’est pas un substitut au rĂ©el, mais un outil d’interconnexion et de mĂ©diation. Contrairement aux idĂ©es reçues, l’appel tĂ©lĂ©phonique ou le simple scroll sur les rĂ©seaux sociaux ne sont pas des buts en soi. Ces jeunes utilisent leurs appareils pour organiser leur vie sociale, partager des expĂ©riences ou explorer des passions. Leur usage n’est pas passif, mais orientĂ© vers des finalitĂ©s prĂ©cises : trouver des lieux, coordonner des rencontres ou enrichir des discussions grĂące Ă  des recherches en temps rĂ©el.

Cette approche se reflĂšte Ă©galement dans le cadre professionnel. Les Z ne perçoivent pas les outils numĂ©riques comme une fin, mais comme un moyen d’ĂȘtre plus efficaces, collaboratifs et crĂ©atifs. Ils recherchent des environnements de travail oĂč l’humain et la technologie se complĂštent, privilĂ©giant les plateformes intuitives qui favorisent l’autonomie et l’échange.

Un rapport au travail profondément revisité

Contrairement Ă  leurs aĂźnĂ©s, qui valorisaient la stabilitĂ© de l’emploi ou l’accumulation de responsabilitĂ©s, la GĂ©nĂ©ration Z place le bien-ĂȘtre et l’épanouissement personnel au cƓur de ses aspirations professionnelles. Ce n’est pas par paresse, comme certains l’affirment, mais par un besoin de redĂ©finir ce que signifie « rĂ©ussir ».

Les membres de cette gĂ©nĂ©ration ne craignent pas de poser des limites claires entre vie professionnelle et personnelle. Ils privilĂ©gient les entreprises alignĂ©es avec leurs valeurs, notamment sur les questions d’éthique, de diversitĂ© et d’écologie. Pour eux, un travail qui n’a pas de sens ou qui dĂ©grade leur qualitĂ© de vie ne vaut pas la peine d’ĂȘtre poursuivi, mĂȘme si cela implique de changer frĂ©quemment de poste.

Dans cette quĂȘte de sens, ils revendiquent des conditions de travail flexibles. TĂ©lĂ©travail, horaires modulables et lieux de coworking sont devenus pour eux des critĂšres essentiels, non par confort mais pour maximiser leur efficacitĂ© tout en prĂ©servant leur Ă©quilibre de vie. Par ailleurs, ils valorisent les collaborations horizontales, oĂč chacun peut contribuer, indĂ©pendamment de son anciennetĂ© ou de son statut hiĂ©rarchique.

Le renouveau des bars à jeux : des lieux de sociabilité modernes

Les bars Ă  jeux, oĂč se croisent stratĂ©gie, rires et Ă©changes, incarnent une volontĂ© de reconnecter dans un monde de plus en plus fragmentĂ©. Contrairement aux bars traditionnels ou aux discothĂšques, souvent perçus comme bruyants et impersonnels, ces lieux rĂ©pondent au besoin de convivialitĂ© structurĂ©e et inclusive. On y vient non pas pour consommer sans but, mais pour partager un moment autour d’une activitĂ© commune.

Cette tendance illustre un dĂ©sir de rupture avec les modĂšles de divertissement des gĂ©nĂ©rations prĂ©cĂ©dentes. Les Z valorisent les expĂ©riences collectives oĂč l’interaction est centrale. Ils ne fuient pas le rĂ©el, mais cherchent Ă  le redĂ©finir avec des codes plus alignĂ©s avec leurs attentes : authenticitĂ©, proximitĂ© et partage.

jeux gen z

Réseaux sociaux : des usages spécifiques et maßtrisés

Contrairement Ă  une idĂ©e largement rĂ©pandue, la GĂ©nĂ©ration Z n’utilise pas les rĂ©seaux sociaux comme leurs aĂźnĂ©s. LĂ  oĂč d’autres gĂ©nĂ©rations y voient un espace d’exposition ou de comparaison, les Z adoptent une approche plus pragmatique et crĂ©ative. TikTok, Instagram ou BeReal ne sont pas uniquement des vitrines personnelles : ce sont des plateformes de dĂ©couverte, d’apprentissage et parfois de militantisme.

Dans le monde du travail, cette approche des rĂ©seaux sociaux se traduit par une utilisation proactive pour rĂ©seauter, apprendre de nouvelles compĂ©tences ou mĂȘme trouver des opportunitĂ©s professionnelles. Cette gĂ©nĂ©ration maĂźtrise les codes numĂ©riques et sait tirer parti de ces outils pour se dĂ©marquer.

Les jeux vidéo collaboratifs : une extension numérique de la convivialité

Un autre aspect rĂ©vĂ©lateur de la GĂ©nĂ©ration Z est son attrait pour les jeux vidĂ©o collaboratifs, qui complĂštent leur recherche de convivialitĂ© authentique. Contrairement Ă  l’image stĂ©rĂ©otypĂ©e du joueur isolĂ© dans son monde virtuel, cette gĂ©nĂ©ration utilise les jeux vidĂ©o comme un moyen de rassembler amis, familles ou communautĂ©s autour d’une expĂ©rience partagĂ©e. Des titres comme Among Us, Overcooked ou Minecraft incarnent cet esprit de coopĂ©ration et de crĂ©ativitĂ© collective.

Ces jeux offrent des espaces d’interaction oĂč le dialogue, la stratĂ©gie et la collaboration sont essentiels pour rĂ©ussir. Ils deviennent ainsi une extension numĂ©rique des dynamiques que l’on retrouve dans les bars Ă  jeux : une activitĂ© structurĂ©e favorisant l’échange, les rires et les souvenirs communs. De plus, grĂące aux fonctionnalitĂ©s en ligne, ils permettent de maintenir des liens Ă  distance, renforçant les connexions humaines mĂȘme en l’absence de proximitĂ© physique.

Pour la GĂ©nĂ©ration Z, les jeux vidĂ©o collaboratifs ne sont donc pas une Ă©chappatoire, mais un outil supplĂ©mentaire pour renforcer les relations et explorer de nouvelles formes d’interaction sociale. Ces pratiques illustrent Ă  quel point cette gĂ©nĂ©ration sait rĂ©concilier numĂ©rique et authenticitĂ©, bousculant les idĂ©es reçues sur les loisirs virtuels.

Une incomprĂ©hension gĂ©nĂ©rationnelle : d’oĂč vient la critique ?

Si la GĂ©nĂ©ration Z est souvent critiquĂ©e, c’est en grande partie parce qu’elle redĂ©finit des normes Ă©tablies. Sa maniĂšre d’interagir, de consommer et de crĂ©er Ă©chappe aux cadres traditionnels. Les smartphones, bien qu’omniprĂ©sents, ne sont pas des prisons, mais des alliĂ©s dans leur quĂȘte d’un monde plus connectĂ© et Ă©quilibrĂ©.

Au travail, cette incomprĂ©hension se traduit parfois par une perception erronĂ©e : les Z sont vus comme peu engagĂ©s, alors qu’ils privilĂ©gient simplement des approches plus durables et plus alignĂ©es avec leurs valeurs.

L’ironie veut que les gĂ©nĂ©rations plus ĂągĂ©es, pourtant souvent plus affectĂ©es par les impacts nĂ©gatifs des smartphones, projettent leurs propres travers sur les plus jeunes. La GĂ©nĂ©ration Z, en choisissant des usages intentionnels et en privilĂ©giant les expĂ©riences humaines, nous invite Ă  repenser nos propres comportements.

Une génération en avance sur son temps

La GĂ©nĂ©ration Z ne fuit pas le rĂ©el, elle le rĂ©invente. En redĂ©finissant les usages des smartphones comme des outils d’interaction et en adoptant des lieux favorisant la convivialitĂ©, elle prouve que technologie et authenticitĂ© ne sont pas incompatibles. Au travail, elle s’impose comme une force de changement, mettant en avant des valeurs d’éthique, de collaboration et de bien-ĂȘtre.

Peut-ĂȘtre est-il temps de cesser de critiquer cette gĂ©nĂ©ration pour ce qu’elle fait diffĂ©remment et de s’inspirer de son approche, et c’est un X qui vous le dit (je parle de gĂ©nĂ©ration bien sĂ»r!). En rĂ©conciliant innovation numĂ©rique et recherche d’authenticitĂ©, elle esquisse un modĂšle oĂč travail, technologie et relations humaines cohabitent harmonieusement.

Quitter ou rester ? Le dilemme idéologique des réseaux sociaux

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À l’Ăšre des rĂ©seaux sociaux omniprĂ©sents, la question de rester ou de quitter une plateforme comme X (anciennement Twitter) en raison des convictions idĂ©ologiques de son dirigeant divise les utilisateurs. Entre rejet par principe et crainte de laisser un espace sans contradiction, les deux positions se dĂ©fendent. Mais quitter un rĂ©seau social est-il vraiment la solution pour exprimer ses dĂ©saccords ? Et jusqu’oĂč cette logique pourrait-elle nous mener face aux autres gĂ©ants technologiques alignĂ©s sur des intĂ©rĂȘts politiques ou Ă©conomiques ?

Quitter par conviction : un acte de résistance

Pour certains, quitter une plateforme est un acte fort de dĂ©sapprobation. Lorsque les dĂ©cisions ou les prises de position de son dirigeant deviennent incompatibles avec ses propres valeurs, il peut sembler lĂ©gitime de ne plus cautionner cet espace. C’est un rejet moral : en fermant son compte, l’utilisateur affirme qu’il refuse de soutenir, mĂȘme indirectement, une plateforme qui va Ă  l’encontre de ses principes.

Ce choix est d’autant plus marquĂ© lorsqu’il est collectif. Une vague massive de dĂ©parts peut affaiblir un rĂ©seau social en rĂ©duisant son audience, son attractivitĂ© et, par consĂ©quent, ses revenus publicitaires. Quitter devient alors un moyen de peser sur le dĂ©bat, d’envoyer un message fort, et mĂȘme, Ă  terme, de forcer un changement. Mais il faut qu’il soit pour autant trĂšs massif.

Rester pour maintenir la contradiction

À l’inverse, d’autres estiment que quitter un rĂ©seau social en opposition avec leurs idĂ©es revient Ă  abandonner le terrain Ă  une seule opinion. Sur des plateformes comme X, qui accueillent des millions d’utilisateurs, chaque voix compte. En dĂ©sertant, les opposants laissent place Ă  un discours uniforme, sans contradiction ni dĂ©bat.

La pluralitĂ© des opinions est essentielle Ă  une sociĂ©tĂ© dĂ©mocratique. Rester sur une plateforme, mĂȘme controversĂ©e, peut ĂȘtre vu comme un acte de rĂ©sistance, une maniĂšre de continuer Ă  dĂ©fendre ses idĂ©es face Ă  des discours contraires. L’enjeu est alors de maintenir une prĂ©sence pour nourrir le dĂ©bat et Ă©viter que certaines positions ne deviennent hĂ©gĂ©moniques.

Doit-on quitter tous les réseaux en désaccord avec nos valeurs ?

Le dilemme ne s’arrĂȘte pas Ă  X. Si l’on applique le principe de quitter un rĂ©seau social par rejet de ses positions idĂ©ologiques, alors oĂč s’arrĂȘte cette logique ?

  • Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp, Threads) : AlignĂ© avec les grandes orientations politiques et Ă©conomiques amĂ©ricaines, Meta est souvent critiquĂ© pour ses politiques de modĂ©ration controversĂ©es, son influence sur les Ă©lections, et ses liens Ă©troits avec Washington.
  • LinkedIn : Sous la direction de Microsoft, LinkedIn suit Ă©galement des lignes conformes aux intĂ©rĂȘts Ă©conomiques et politiques amĂ©ricains.
  • TikTok : PropriĂ©tĂ© de ByteDance, TikTok est rĂ©guliĂšrement accusĂ© d’ĂȘtre alignĂ© sur les intĂ©rĂȘts du gouvernement chinois.
  • YouTube (Google) : Le gĂ©ant de la vidĂ©o en ligne est lui aussi rĂ©guliĂšrement critiquĂ© pour sa gestion des contenus et sa proximitĂ© avec certaines sphĂšres politiques.

Si chaque plateforme est, de fait, influencĂ©e par les intĂ©rĂȘts de son pays ou de ses dirigeants, faudrait-il alors toutes les quitter ? Et si oui, quel espace resterait pour s’exprimer ? Les alternatives dĂ©centralisĂ©es ou indĂ©pendantes existent, mais elles peinent encore Ă  rassembler des audiences significatives.

Les alternatives : espaces d’uniformitĂ© ?

Des plateformes comme Mastodon ou Bluesky se prĂ©sentent souvent comme des alternatives plus ouvertes, Ă©thiques ou modĂ©rĂ©es par rapport Ă  Twitter. Toutefois, elles tendent Ă  attirer des utilisateurs partageant des convictions proches. Mastodon, par exemple, est populaire auprĂšs de communautĂ©s progressistes, tandis que certains rĂ©seaux plus marginaux s’adressent Ă  des publics conservateurs. Cette segmentation crĂ©e des espaces oĂč les idĂ©es dominantes sont rarement contestĂ©es, rendant le dĂ©bat public moins riche et davantage cloisonnĂ©.

X, malgrĂ© ses dĂ©fauts actuels, reste une des rares plateformes oĂč cohabitaient historiquement des points de vue diamĂ©tralement opposĂ©s, offrant un champ de confrontation parfois houleux, mais aussi fĂ©cond. Les alternatives, en revanche, peinent Ă  recrĂ©er cette diversitĂ©, car elles attirent des utilisateurs cherchant Ă  fuir des conflits ou Ă  retrouver un environnement plus homogĂšne et sĂ©curisĂ©.

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Exister comme force opposante ou disparaĂźtre ?

La question centrale devient alors : est-il plus utile de quitter une plateforme pour marquer son dĂ©saccord ou d’y rester pour reprĂ©senter une force opposante ?

En quittant, on exprime un rejet clair, mais on perd Ă©galement l’opportunitĂ© de faire entendre une voix discordante. À l’inverse, rester permet de maintenir une diversitĂ© d’opinions, mais peut aussi ĂȘtre perçu comme une forme de compromission ou de soutien indirect.

La dĂ©cision dĂ©pend de l’objectif recherchĂ© : s’agit-il de protester par un acte symbolique ou de continuer Ă  dĂ©fendre ses idĂ©es dans l’arĂšne ?

Un dilemme universel : des parallĂšles avec d’autres sphĂšres

Le dilemme de quitter ou de rester sur une plateforme en opposition avec ses valeurs ne se limite pas aux rĂ©seaux sociaux. On peut observer des dynamiques similaires dans d’autres sphĂšres de la sociĂ©tĂ©, comme la tĂ©lĂ©vision, le monde du travail, les dĂ©bats publics ou la politique.

En politique, cette question est encore plus Ă©vidente : faut-il s’abstenir de voter pour protester contre un systĂšme qu’on rejette ou s’engager activement pour essayer de le rĂ©former de l’intĂ©rieur ? Les dĂ©bats publics, enfin, illustrent aussi ce choix : participer Ă  une discussion oĂč les opinions sont polarisĂ©es peut sembler inutile, voire Ă©puisant, mais s’y dĂ©sengager revient souvent Ă  laisser l’espace Ă  des discours dominants, sans contradiction.

Ces exemples montrent que ce dilemme n’est pas propre aux rĂ©seaux sociaux. Il illustre un enjeu plus large : celui de trouver un Ă©quilibre entre le rejet par conviction et l’engagement pour dĂ©fendre une pluralitĂ© d’opinions dans un monde oĂč les espaces de discussion tendent Ă  se polariser.

Quel futur pour la pluralité numérique ?

Le paysage numĂ©rique actuel reflĂšte des enjeux gĂ©opolitiques majeurs. Les rĂ©seaux sociaux ne sont plus de simples outils de communication, mais des plateformes influentes façonnant les opinions et les dĂ©cisions politiques. La concentration de ces espaces sous le contrĂŽle de quelques gĂ©ants, alignĂ©s sur des intĂ©rĂȘts spĂ©cifiques, rend encore plus crucial le maintien d’une pluralitĂ© d’opinions.

Les utilisateurs, en tant qu’individus ou communautĂ©s, doivent trouver des moyens de naviguer dans ce paysage complexe. Qu’il s’agisse de rester ou de partir, l’essentiel est de rĂ©flĂ©chir Ă  l’impact de sa dĂ©cision, non seulement sur soi-mĂȘme, mais sur la maniĂšre dont le dĂ©bat public est structurĂ©.

Un choix personnel et politique

Quitter un rĂ©seau social en raison de dĂ©saccords idĂ©ologiques est un choix personnel qui peut avoir des implications politiques. Mais ce choix n’est pas sans consĂ©quence : en dĂ©sertant ces espaces, on risque de contribuer Ă  un appauvrissement du dĂ©bat public.

PlutĂŽt que de simplement partir ou rester, peut-ĂȘtre est-il temps d’explorer des alternatives, de construire de nouveaux espaces numĂ©riques, ou de renforcer les plateformes dĂ©centralisĂ©es. Dans tous les cas, le dĂ©fi pour les gĂ©nĂ©rations actuelles est de prĂ©server la pluralitĂ© et la contradiction, sans cĂ©der Ă  l’hĂ©gĂ©monie des gĂ©ants du numĂ©rique.

Le rÎle crucial des réseaux sociaux pour une entreprise

les réseaux sociaux et les entreprises

Le rĂŽle crucial des rĂ©seaux sociaux dans la rĂ©putation des entreprises : une fenĂȘtre ouverte sur la vie quotidienne

Les jeunes ont leur portable greffĂ©s Ă  la main, ils sont dans un autre monde, les gens ne sont que sur les rĂ©seaux sociaux et pas dans la vraie vie.. qui n’a pas entendu ces rĂ©flexions au moins une fois dans la journĂ©e ?
Le smartphone fait partie du quotidien de beaucoup de monde et ceux qui s’en plaignent l’utilisent finalement tout autant. On est prĂȘt Ă  parier que si le smartphone avait Ă©tĂ© inventĂ© dans les annĂ©es 70, la gĂ©nĂ©ration X serait l’Ă©quivalent des Z aujourd’hui. Mais il faut en finir avec ces prĂ©jugĂ©s, le smartphone est dĂ©sormais un outil du quotidien et surtout l’objet de prĂ©dilection pour les rĂ©seaux sociaux.

Et dans ce monde hyperconnectĂ©, les rĂ©seaux sociaux sont devenus un outil incontournable pour les entreprises. Ils ne se contentent plus de diffuser des publicitĂ©s ou des promotions, mais jouent un rĂŽle central dans la gestion de la rĂ©putation et la construction de la marque. En projetant les gens dans la vraie vie d’une entreprise, les rĂ©seaux sociaux crĂ©ent une connexion authentique avec les clients, renforçant ainsi la fidĂ©litĂ© et la confiance.

La rĂ©putation Ă  l’Ăšre des rĂ©seaux sociaux

Les rĂ©seaux sociaux offrent aux entreprises une plateforme oĂč elles peuvent directement interagir avec leurs clients. Cependant, cette interaction doit ĂȘtre gĂ©rĂ©e avec soin. Une mauvaise gestion des commentaires ou des critiques peut rapidement ternir la rĂ©putation d’une entreprise. À l’inverse, une gestion proactive et positive des interactions peut transformer les clients mĂ©contents en ambassadeurs de la marque.

La transparence est devenue une exigence fondamentale. Les consommateurs d’aujourd’hui sont mieux informĂ©s et plus exigeants. Ils recherchent des entreprises honnĂȘtes et authentiques. Les rĂ©seaux sociaux permettent aux entreprises de montrer leur cĂŽtĂ© humain, d’admettre leurs erreurs et de partager leurs rĂ©ussites. Ce niveau de transparence est crucial pour Ă©tablir une rĂ©putation solide et durable.

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Humaniser l’entreprise : une stratĂ©gie gagnante

L’un des moyens les plus efficaces pour les entreprises de se rapprocher de leurs clients est de les plonger dans leur quotidien. Montrer les coulisses, les processus de production, ou les histoires des employĂ©s crĂ©e un lien Ă©motionnel avec les clients. Cela permet de dĂ©montrer que l’entreprise est composĂ©e de personnes rĂ©elles, passionnĂ©es par leur travail.

Par exemple, une entreprise de cafĂ© pourrait partager des vidĂ©os de la cueillette des grains, des entrevues avec les agriculteurs, ou des moments de convivialitĂ© dans leurs locaux. De telles initiatives permettent aux clients de se sentir impliquĂ©s et de mieux comprendre les valeurs et l’engagement de l’entreprise. Une rĂ©cente Ă©tude montre que Meta par exemple commence Ă  privilĂ©gier l’expĂ©rience et l’authenticitĂ© des entreprises qui se mettent en scĂšne au travers des Reels plutĂŽt que des partages d’actualitĂ©s sur la page entreprise.

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Créer une connexion authentique

Les stories Instagram, les Reels, les directs sur Facebook, et les publications sur LinkedIn sont autant de moyens de projeter les clients dans la vie quotidienne de l’entreprise. Ces formats permettent une interaction en temps rĂ©el et une immersion totale. Les clients peuvent poser des questions, donner leur avis, et ressentir qu’ils font partie de l’histoire de l’entreprise.

Cette approche a montrĂ© son efficacitĂ© dans de nombreux secteurs. Les entreprises de mode, par exemple, utilisent souvent les rĂ©seaux sociaux pour montrer les Ă©tapes de la crĂ©ation de leurs produits, des croquis initiaux aux dĂ©filĂ©s de mode. Cela non seulement crĂ©e de l’excitation autour de la marque, mais aussi une profonde apprĂ©ciation pour le travail et le talent impliquĂ©s.

Les rĂ©seaux sociaux ont redĂ©fini la maniĂšre dont les entreprises interagissent avec leurs clients. En ouvrant une fenĂȘtre sur leur quotidien, les entreprises peuvent construire une relation plus authentique et transparente avec leur audience. Cette approche non seulement amĂ©liore la rĂ©putation de l’entreprise, mais renforce Ă©galement la loyautĂ© des clients. Dans un paysage commercial de plus en plus concurrentiel, humaniser la marque Ă  travers les rĂ©seaux sociaux est une stratĂ©gie indispensable pour se dĂ©marquer et crĂ©er des liens durables avec les clients.

©FP – Social Media Manager – Netmedia

L’Ă©gocentrisme des rĂ©seaux sociaux

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DĂ©passer l’Ă©gocentrisme des informations sur les rĂ©seaux sociaux

Lorsque l’on Ă©voque l’Ă©gocentrisme sur les rĂ©seaux sociaux et la tendance Ă  une communication centrĂ©e uniquement sur soi, notre pensĂ©e se tourne souvent vers les influenceurs. Il est indĂ©niable que ces derniers mettent en avant leur image pour promouvoir et vendre des produits, profitant de l’influence qu’ils exercent sur leur communautĂ© d’abonnĂ©s, attirĂ©s par leur personnalitĂ©.

Cependant, l’Ă©gocentrisme de l’information est un phĂ©nomĂšne moins souvent Ă©voquĂ©, pourtant bien prĂ©sent chez de nombreux comptes sociaux, notamment ceux des collectivitĂ©s, organismes publics ou entitĂ©s touristiques. Ces acteurs considĂšrent souvent que toute information n’Ă©manant pas d’eux-mĂȘmes n’a aucune valeur ajoutĂ©e. Autrement dit, ils rĂ©pugnent Ă  promouvoir d’autres canaux que le leur, mĂȘme au dĂ©triment d’une promotion quasi-gratuite de leur environnement.

Cette tendance est particuliĂšrement frappante lors de l’organisation d’Ă©vĂ©nements. Si ceux-ci ne sont pas directement gĂ©rĂ©s par l’entitĂ© qui a autoritĂ© ou la collectivitĂ©, aucune information n’est partagĂ©e, aucune implication n’est constatĂ©e, et aucune promotion n’est faite sur leurs canaux officiels. Comme si mettre en avant le territoire par le biais d’autres contributeurs Ă©tait tabou. On oublie alors la valeur ajoutĂ©e que peut offrir la viralitĂ© de l’information, au dĂ©triment de celui qui en assure la promotion.

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L’Ă©gocentrisme de l’information se manifeste par la conviction qu’une information non diffusĂ©e par soi-mĂȘme sur les rĂ©seaux sociaux est nĂ©cessairement une mauvaise chose. Pourtant, il est important de rappeler que les rĂ©seaux sociaux ne sont que des outils de communication au service d’un territoire ou d’une entreprise. Si la diffusion de l’information peut contribuer au succĂšs d’un Ă©vĂ©nement ou d’un produit dans la vie rĂ©elle, oĂč est le problĂšme ? Ces entitĂ©s ont souvent des stratĂ©gies bien Ă©tablies, croyant dĂ©tenir la clĂ© de la communication, mais elles se privent ainsi d’informations diffusĂ©es par d’autres canaux, et privent le public d’informations souvent cruciales sur le territoire.

Cette attitude est d’autant plus frustrante pour le public, car elle crĂ©e une rĂ©tention d’information qui nuit Ă  la rĂ©putation du territoire ou du lieu, notamment lorsqu’il s’agit de promouvoir ce qui s’y passe. Cette rĂ©ticence Ă  partager peut ĂȘtre interprĂ©tĂ©e comme une protection exacerbĂ©e de l’information dĂ©tenue, ou simplement comme une incomprĂ©hension du monde qui les entoure.

Il serait pourtant extrĂȘmement bĂ©nĂ©fique, notamment pour une destination, une ville ou une collectivitĂ©, de s’ouvrir aux contributions de son environnement pour enrichir sa communication et projeter une image positive auprĂšs du public. Sur les rĂ©seaux sociaux, il est de plus en plus Ă©vident que rester entre soi est contre-productif. Une stratĂ©gie de mĂ©dias sociaux efficace implique un Ă©change avec sa communautĂ© et le partage d’informations, qu’elles proviennent de soi ou d’autrui. Communiquer uniquement pour nourrir son ego de marque ou de territoire conduit inĂ©vitablement Ă  une communication uniforme et fade.

Les réseaux sociaux : quels risques à ne pas communiquer pour les TPE et PME ?

TPE / PME te réseaux sociaux

Dans le monde d’aujourd’hui, oĂč la prĂ©sence en ligne est devenue essentielle pour la rĂ©ussite commerciale, les rĂ©seaux sociaux jouent un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant. Que vous soyez une petite entreprise ou une TPE (TrĂšs Petite Entreprise) ou PME ( petites et moyennes entreprises), ignorer l’importance des rĂ©seaux sociaux pourrait vous faire perdre des opportunitĂ©s incroyables. Revenons l’importance des rĂ©seaux sociaux pour les entreprises, les risques encourus en ne communiquant pas efficacement et les avantages de sous-traiter le community management.

L’importance des rĂ©seaux sociaux pour les TPE et PME

Les réseaux sociaux sont un moyen puissant pour les TPE et PME de se connecter avec leur public cible. Ils offrent une plateforme pour partager des informations, des actualités, des promotions et des histoires captivantes. En créant une présence en ligne, les entreprises peuvent augmenter leur visibilité et leur notoriété, ce qui est crucial pour se démarquer dans un marché concurrentiel.

Les réseaux sociaux permettent également aux TPE et PME de développer des relations plus étroites avec leur clientÚle. En interagissant directement avec les clients potentiels et existants, elles peuvent répondre à leurs préoccupations, résoudre des problÚmes et renforcer la confiance. Cette proximité renforce la fidélité des clients et favorise la recommandation de bouche-à-oreille, ce qui peut contribuer à une croissance organique durable.

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Les risques de ne pas communiquer efficacement

Si une entreprise nĂ©glige de communiquer sur les rĂ©seaux sociaux, elle court le risque de se laisser distancer par ses concurrents qui tirent parti de ces canaux. Les clients d’aujourd’hui sont constamment connectĂ©s et recherchent des entreprises sur les rĂ©seaux sociaux pour se renseigner sur leurs produits, leurs services et leur rĂ©putation. Si l’entreprise n’est pas prĂ©sente sur ces plateformes, elle risque de passer inaperçue ou d’ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme dĂ©passĂ©e.

De plus, l’absence de communication sur les rĂ©seaux sociaux peut conduire Ă  une mauvaise gestion de la rĂ©putation en ligne. Les clients insatisfaits peuvent partager leurs expĂ©riences nĂ©gatives sans que l’entreprise puisse y rĂ©pondre et les rectifier. Cela peut nuire Ă  la crĂ©dibilitĂ© et Ă  la rĂ©putation de la TPE, dissuadant de potentiels clients de faire affaire avec elle.

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L’intĂ©rĂȘt de sous-traiter le community management

Pour une TPE ou une PME, la gestion des rĂ©seaux sociaux peut reprĂ©senter une tĂąche chronophage et complexe. La sous-traitance du community management Ă  des professionnels expĂ©rimentĂ©s peut s’avĂ©rer un choix pertinent. Externaliser cette responsabilitĂ© permet Ă  l’entreprise de se concentrer sur son cƓur de mĂ©tier, tout en bĂ©nĂ©ficiant des avantages d’une prĂ©sence en ligne efficace. Un community manager qualifiĂ© saura Ă©laborer une stratĂ©gie de communication adaptĂ©e Ă  la TPE, en accord avec ses objectifs et son public cible. Il pourra crĂ©er du contenu en interagissant avec vous rĂ©guliĂšrement pour s’alimenter en continu. Il est nĂ©cessaire qu’il s’imprĂšgne de votre histoire, de votre savoir-faire et de votre savoir-ĂȘtre pour mener Ă  bien sa mission.

On se retrouve dans le mĂȘme cas de figure que d’autres postes comme la comptabilitĂ©. Cette mission externalisĂ©e vous apporte une rĂ©ponse immĂ©diate aux problĂšmes de recrutement, du manque de compĂ©tences en interne et d’un gain de temps considĂ©rable.

En rĂ©sumĂ©, avec un marchĂ© du travail tendu, une explosion de la consultation des rĂ©seaux sociaux et du web en gĂ©nĂ©ral, il est impĂ©ratif pour les entreprises d’assurer leur prĂ©sence en ligne. Il est tout Ă  fait rationnel d’externaliser la mission de community management qui prĂ©sente l’avantage d’ĂȘtre une rĂ©ponse immĂ©diate, avantageuse financiĂšrement pourvu que l’entreprise s’adresse Ă  des professionnels en la matiĂšre. Il est toutefois impĂ©ratif que l’entreprise, tout comme d’autres missions externalisĂ©es, garde le lien et fasse rĂ©guliĂšrement un point avec les intervenants, afin de ne pas se dĂ©connecter de sa prĂ©sence sur les diffĂ©rents canaux.

Quand les générations X et Y donnent des leçons aux jeunes.. on sourit

Generation Z avenir

On a dĂ©cidĂ© de torde le cou Ă  certaines lĂ©gendes urbaines qui tendent Ă  faire penser que seuls les jeunes et en particulier la gĂ©nĂ©ration Z, ont des comportements addictifs et une utilisation anormale de la technologie. Notre rapport au travail nous entraine aussi Ă  penser qu’ils sont complĂštement dĂ©connectĂ©s de la rĂ©alitĂ©.

Réseaux sociaux : plus accros les jeunes ?

L’idĂ©e que l’on a des jeunes sur leur comportement face aux rĂ©seaux sociaux et Ă  leur utilisation, face Ă  la technologie, est largement rĂ©pandu dans les gĂ©nĂ©rations des trentenaires jusqu’au sexagĂ©naires. Un genre de bashing qui est d’autant plus incomprĂ©hensible que ce sont ces mĂȘmes gĂ©nĂ©rations qui sont Ă  l’origine du dĂ©veloppement et de l’accĂ©lĂ©ration de la technologie.

Si on se penche sur les rĂ©seaux sociaux, une Ă©tude amĂ©ricaine rĂ©vĂšle que les sĂ©niors sont les plus permĂ©ables aux Fake News. L’article va plus loin en parlant d’une gĂ©nĂ©ration qui « n’a pas le niveau d’éducation aux mĂ©dias numĂ©riques nĂ©cessaire pour dĂ©terminer de façon sĂ»re la fiabilitĂ© des nouvelles croisĂ©es sur le net ». L’Ă©ducation et la formation aux rĂ©seaux sociaux pourrait ĂȘtre une solution clĂ© pour aider les personnes des gĂ©nĂ©rations X et Y Ă  mieux se former Ă  l’esprit critique.

Le site psychologies relĂšve que si un jeune peut trouver un repĂšre identitaire dans une frĂ©quentation intense des rĂ©seaux sociaux, que faut-il penser d’une conduite similaire chez un quadra, qui possĂšde un travail, une famille ? et d’y apporter la rĂ©ponse  » Nous avons aussi Ă©tĂ©, pendant trĂšs longtemps, des spectateurs tĂ©lĂ©. Cela nous a confortĂ©s dans cette posture d’observation de l’autre. Les rĂ©seaux sociaux assouvissent Ă  la fois ce besoin voyeur, mais montrent aussi notre besoin quasi-vital de s’exhiber, de se montrer.. » L’utilisation massive de Facebook chez les quadra et les quinqua ne dĂ©ment pas cette position.

88% des utilisateurs de Facebook , 84% des utilisateurs de Messenger, 84% des utilisateurs de Twitter, 77 % de de ceux de Linkedin , 66% d’instagram, 64% de Youtube, 54% de snapchat, 53% de Tiktok ont plus de 25 ans ! On sait ça calme !

ingenieur z

Addiction

En ce qui concerne l’addiction et notamment celle du smartphone qui crispe tous les parents au moment de passer Ă  table, savez-vous que d’aprĂšs une Ă©tude menĂ©e par Zengularity et Opinionway, 90 % des Français ne supporteraient pas la perte du rĂ©seau (tĂ©lĂ©phone, Wifi, 3G/4G), et cela aurait de nombreux impacts nĂ©gatifs sur leur bien-ĂȘtre.

Une autre Ă©tude du New York Times rĂ©vĂšle que les parents sont aussi accros au smartphone que les ados : 42% des adultes regardent leur smartphone plusieurs fois par heure. Dans ces conditions, difficile de dire Ă  leurs enfants de laisser leur smartphone de cĂŽtĂ©, non ? Les symptĂŽmes de nomophobie (peur quand on ne se retrouve pas en possession de son tĂ©lĂ©phone) touche 99,2% de ses possesseurs. Ce n’est plus une question d’Ăąge lĂ  !
Et puis on se souviens parfois de sa pĂ©riode d’ado et de jeune adulte.. qui n’a pas confisquĂ© le tĂ©lĂ©phone de ses parents dans sa chambre pour appeler le copain ou la copine que l’on a laissĂ© 10 minutes auparavant ? Ah moi je jouais dehors avec les copains jusqu’Ă  pas d’heure.. oui mais vous n’aviez pas de tĂ©lĂ©phone ou de rĂ©seaux sociaux Ă  l’Ă©poque facile ! Qu’auriez-vous fait franchement ?

nouvelle generation

Technologie

Cet esprit de possession et de technologie qui touchent aussi un gĂ©nĂ©ration au dessus. Le profil type d’un acquĂ©reur d’Iphone a autour de 30 ans et gagne prĂšs de 40.000 euros bruts par an. Il s’agit donc plus d’une position sociale.
Concernant l’acquisition d’un vĂ©hicule Ă©lectrique, l’Ăąge moyen des propriĂ©taires est de 56 ans.  Et dans 85 % des cas, il s’agit d’un homme qui habite trĂšs majoritairement en milieu urbain (71 %). 41 % ont en outre achetĂ© leur auto en L.O.A. ou en L.L.D. C’est un peu plus que la moyenne des achats en location sur l’ensemble des motorisations (37 %).

generation Z

Et que penser du travail ?

Non les jeunes de la gĂ©nĂ©ration Z ne sont pas des fainĂ©ants comme peuvent l’Ă©crire certains, c’est une gĂ©nĂ©ration de rupture, en quĂȘte de sens dans le travail. Ils ne comprennent pas le management descendant pratiquĂ© dans nombreuses entreprises et ont besoin d’ĂȘtre stimulĂ©s par quelque chose d’intĂ©ressant. Dans mon ancien travail, je trouvais ce management tellement ridicule et dĂ©passĂ© que je me retrouve aujourd’hui largement dans les idĂ©es dans cette gĂ©nĂ©ration. Nombre de quadra et quinqua se retrouvent aujourd’hui dans des entreprises tellement pĂ©rimĂ©es idĂ©ologiquement qu’ils en arrivent Ă  un burn out ou un bore out. Comme le soulĂšve un article des Echos, l’angoisse Ă©levĂ©e des gĂ©nĂ©rations plus ĂągĂ©es, peut vite se traduire par des burn-out, ce qui explique ces soudains articles sur ces jeunes qui n’auraient plus le goĂ»t de l’effort. « Plus vous ĂȘtes ĂągĂ©, plus vous adhĂ©rez Ă  l’idĂ©e qu’il faut souffrir ». Du dialogue, de l’Ă©coute, un salaire motivant, du sens et un environnement favorisant le bien-ĂȘtre, sont demandĂ©s.. Certaines d’entreprises devraient effectivement penser Ă  se remettre en cause dans leur techniques de management